La fausse mort du poète. (Photo de plateau)
Cinéma de poésie.
Ce n’est pas seulement parce qu’ils ont la poésie pour sujet que Le Sang d’un poète (1930), Orphée (1950) et Le Testament d’Orphée (1959) forment un triptyque. Des liens plus serrés les unissent. Ces trois films sont les épisodes d’un même cycle centré sur les métaphores de regard.