Premiers poèmes
Poésie 1916-1923
Opéra
Le Potomak
Le Grand Écart
Thomas l’imposteur
Le Livre blanc, livre anonyme
Les Enfants terribles
Le Rappel à l’ordre
Opium, reportage et critique
La Difficulté d’être
Maalesh
Journal d’un inconnu
Démarche d’un poète
Poésie critique
Autres publications critiques
Le Passé défini
Carte blanche
Portraits-Souvenir : la Belle Époque
Mon premier voyage
Le Foyer des artistes
Les Mariés de la tour Eiffel
Parade
Orphée (théâtre)
La Voix humaine
La Machine infernale
Les Parents terribles
Le Sang d’un poète
L’Éternel Retour
La Belle et la Bête
Ruy Blas
L’Aigle à deux têtes
Les Parents terribles (film)
Orphée (film)
Les Enfants terribles (film)
Le Testament d’Orphée
Réflexions sur le cinématographe
Dessins
Le Mystère de Jean l’Oiseleur
Maison de santé
Vingt-cinq dessins d’un dormeur
Soixante dessins pour « Les Enfants terribles »
Dessins en marge du texte des « Chevaliers de la Table Ronde»
Poésie plastique (1926)
Livres / Fiction
Un « remède contre le modernisme »
Thomas, Bormes, Valiche
Le « style cursif » de la nouvelle
Le drôle et le douloureux
Visite d’un mort
Traductions en anglais, tchèque, allemand, espagnol, italien, allemand à nouveau, portugais et serbo-croate. La première traduction de Thomas l’imposteur est tchèque, éditée par Josef Sef en 1926.
