Très tôt, Cocteau est attiré par l’étrange, le merveilleux, l’inexplicable. Pour communiquer avec Radiguet, après la mort en 1923, il participe à plusieurs séances de tables tournantes. Il croit aux vertus de la radiesthésie et fait appel à plusieurs reprises à ces guérisseurs qui utilisent la baguette ou le pendule.
En revanche, la psychanalyse, qui prétend ériger en science l’exploration de l’inconscient — qu’il appelle de son côté le subconscient — le rebute. Il lui préfère la magie, et l’écrit dans le périodique à grand tirage Voilà en 1953. On le voit aussi s’essayer à la prestidigitation sur cette photo publiée dans Samedi soir du 20 novembre 1948.
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