Du, Das Luftkind, Man hat mir erzählt…, Die Strafe, Der Vogel et Blut : six poèmes d’amour malheureux, inspirés semble-t-il par la liaison du poète avec Jean Desbordes. Cocteau les confie avec d’autres à Klaus Mann, jeune écrivain allemand dont il a préfacé le roman Alexander en 1929. Exilé en Hollande en 1933, celui-ci y publie depuis septembre 1933 une revue antinazie, Die Sammlung. Le numéro 10, paru en juin 1934, contient, outre les poèmes, une traduction allemande du Fantôme de Marseille, nouvelle d’abord publiée dans La N.R.F. du 1er novembre 1933.