Serge Bourjea écrit à propos de ces illustrations : « Le talent de Cocteau — instinct, sang d’un poète ? — aura consisté à débusquer, dès les premiers poèmes, cette forme-figure de l’animal que Valéry n’y savait probablement pas aussi intensément inscrite, mais qui anime pourtant, au plus profond, la vie de ses mots. »
(Jean Cocteau, Quarante ans après, centre Pompidou / Publications de Montpellier III, Montpellier, 2005.)