Le livre publié en 1951 chez Calmann-Lévy rend hommage à un exemple type « des comédiens qui contredisent le Paradoxe de Diderot ». Il salue aussi le peintre : « J’admire la patience avec laquelle Jean Marais endort sa fougue et s’acharne aux difficultés. Il soigne les moindres détails d’un paysage, les laisse sécher, les masque de feuilles elles-mêmes recouvertes de fleurs que d’autres fleurs recouvrent. Aucune complaisance ne sauve des préparatifs aussi nets que la couche définitive. »
Quant à l’abondante correspondance amoureuse qu’ils ont échangée, elle se pare de poésie, d’autant que les lettres de Cocteau prennent souvent la forme de poèmes.