Dans Le Sang d’un poète, la modalité dominante du regard est le voyeurisme. Il s’agit, au propre comme au figuré, de mettre son œil au trou de la serrure et de regarder en fraude ce que le monde interdit dissimule, les paradis artificiels, la sexualité déviante, l’inguérissable douleur de l’enfance blessée.