Publié en juin 1965 aux Éditions Michèle Trinckvel, l’ouvrage est un beau témoignage de l’amitié que Cocteau portait à Magnan à qui il devait le déchiffrage du manuscrit de La Corrida du 1er mai, sans parler de toutes leurs rencontres aux corridas nîmoises et arlésiennes en compagnie de Picasso.