Comme le poème Cri écrit, auquel il fait allusion en fin de première strophe, il s’agit d’un poème métaphysique, dans lequel Cocteau interroge l’énigme de l’existence, le supplice des questions non résolues, l’angoisse et la douceur de se taire une bonne fois pour toutes. Le poème a été repris en 1947 dans les Œuvres complètes de Cocteau chez Marguerat.