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« Les burins illustrant un chef-d’œuvre ne prétendent pas lui ajouter quoi que ce soit. Seulement, mes lignes baignent le livre dans l’atmosphère où nous vécûmes entre Le Diable au corps et Le Bal » (préface à l’édition de 1953).

Cocteau qui a déjà préfacé à trois reprises Le Bal du comte d’Orgel, procure en 1953 une édition de luxe du livre aux éditions du Rocher (édition en feuilles sous emboîtage, tirée à 250 exemplaires). Il compose une nouvelle préface et 34 gravures au burin qui comptent parmi les plus belles illustrations qu’on lui connaît. François de Séryeuse a les traits de Raymond Radiguet et Paul Robin ceux de Georges Auric.