« J’ai formé le projet d’écrire ce journal de La Belle et la Bête, au fur et à mesure du travail de ce film. Après un an de préparatifs et d’obstacles voilà le moment venu de prendre corps-à-corps le rêve. […] Ma méthode est simple : ne pas me mêler de poésie. Elle doit venir d’elle-même. Son seul nom prononcé bas l’effarouche. J’essaie de construire une table. À vous, ensuite, d’y manger, de l’interroger ou de faire du feu avec. »
(Préface de Jean Cocteau.)