Avec Le Testament d’Orphée, arrive le troisième temps du cycle. L’œil est mort et ne regarde plus rien. Le poète, parvenu au terme de sa vie, a voyagé ; il s’est même égaré dans l’espace-temps et, comme un Ulysse malheureux, il voudrait bien rentrer chez lui. Au cours de son ultime errance, il va croiser des lambeaux de sa vie passée, mais il passera près d’eux sans les voir.