« Vers 1944, la sûreté, la vigueur et l’aisance auxquelles atteint le dessinateur témoignent d’une maîtrise qui donne lieu à trois réussites majeures : le portrait de Colette, d’une acuité digne de Lautrec, les lithographies d’Orphée et les dessins sur le thème de la licorne (1947) où triomphe le mouvement lyrique de la ligne. »
(Pierre Chanel, Jean Cocteau poète graphique, Chêne/Stock, Paris, 1975.)