Dans la préface de 1953 à ce livre, Cocteau écrit : « Les burins illustrant un chef-d’œuvre ne prétendent pas lui ajouter quoi que ce soit. Seulement, mes lignes baignent le livre dans l’atmosphère où nous vécûmes entre Le Diable au Corps et Le Bal. »
Ce qui explique, de l’aveu même de Cocteau, que François de Séryeuse ait les traits de Radiguet et le jeune diplomate, Paul Robin, ceux de Georges Auric.