André Germain fait la connaissance de Cocteau en 1907 et celle de Mauriac dans les années 1910. Il évoque dans cet article « un demi-siècle de souvenirs » liés à sa fréquentation des deux écrivains, en un parallèle qui s’efforce d’expliquer le ressort de leur relation si brouillée et de mettre en lumière leurs talents respectifs.