S’il accepte de se prêter au jeu des lignes de la main, Cocteau émet des réserves sur les conclusions de la chiromancienne Maïa Noël qui, en 1962, lui adresse une analyse chirologique de ses mains. Qu’elle écrive qu’il aime la vie mondaine lui déplaît. Il lui fait aussi remarquer que le terme de « solitaire » serait plus juste que celui d’« égoïste », ajoutant : « Je n’ai jamais pensé qu’aux autres. »