Le retour de Marianne Oswald en France après la guerre lui permet de renouer avec Cocteau, de côtoyer Jean Marais, de figurer dans le vaste cercle de leurs amitiés artistiques. On échange des photos, on se rend service. Le fonds conserve par exemple un texte de Cocteau adressé à la jeunesse d’Allemagne dans les années cinquante, qu’il demande à la chanteuse de dire en son nom à l’occasion d’une tournée qu’elle fait dans le pays.
Cependant Marianne Oswald ne figure pas dans le « premier cercle » et Cocteau ne lui fait pas signe lorsqu’il entreprend de tourner Le Testament d’Orphée en 1959. Dans une lettre aussi conservée dans le fonds, il explique à la chanteuse pourquoi.